Interculturalite - Sommaire (french)
Autor: Joshua • November 28, 2017 • 15,946 Words (64 Pages) • 643 Views
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Après avoir donné nos idées et posé nos questions sur l’interculturalité à notre professeur, il nous a dirigées vers une personne susceptible de répondre à nos questions.
2) Les recherches relatives à notre sujet
a) Quelques définitions
- Société multiculturelle : c’est un société où des personnes de différentes nationalités se rencontrent.
- Culture : C’est l’ensemble des religions, des significations qui sont propres à un groupe, c’est-à-dire à un ensemble de personne.
- Identité culturelle : C’est le processus d’identification d’une personne dans sa religion, dans sa culture.
- Identité nationale : C’est le sentiment d’appartenance à une société, à une nation.
- Multiculturalisme : C’est une société qui est composée de différentes cultures.
- Assimilation culturelle : c’est une société qui fait disparaître les cultures minoritaires afin qu’une seule culture soit respectée.
- Société interculturelle : C’est une société de diverses nationalités qui mettent en avant leurs différences.
D’après les définitions, on peut savoir que la culture existe de plus en plus dans notre vie. Le mot « culture » connecte tous les pays du monde, il permet de réaliser des échanges très intéressants entre les régions, les entreprises et les personnes individuelles. Nous décidons donc d’accentuer nos recherches sur les entreprises.
Les personnes dans le monde ont des habitudes et des cultures différentes. Les organisations interculturelles qui existent doivent respecter les cultures et essayer de satisfaire les conditions de chaque culture. Ce n’est pas tout à fait comme les fusions de technologie ou d’entreprises, car les cultures sont très différentes, elles dépendent de plusieurs facteurs, y compris le climat, l’alimentation, l’habitude de vie et même la personnalité. Donc, s’adapter à une culture différente de la sienne reste un challenge pour l’individu.
b) Le management de l’interculturalité
D’après nos recherches d’informations sur l’interculturalité pour la France et la Chine, on peut voir que le modèle chinois est plus strict que celui des pays occidentaux. Les entreprises chinoises préfèrent tout prévoir, c’est-à-dire les budgets, les procédures, mais les pays occidentaux préfèrent évoluer au fil de la production.
Donc, pour assurer un climat favorable au travail, il faut réaliser un management de l’interculturalité.
D’après Philippe PIERRE :
« Le management interculturel, discipline récente, exprime ainsi, au niveau des entreprises, un enjeu qui est aussi celui des États Nation, à savoir la capacité d’un système social à nouer du lien social dans la durée, à intégrer une différence qui ne soit pas contrôlée arbitrairement « par le haut » et assure la reconnaissance de l’autre comme égal à soi. Jusqu’à quel point apprécier, en entreprise, la différence (de culture, de genre) comme une valeur à partir de laquelle peuvent découler des droits et des devoirs pour les salariés.
L’apparition du « management interculturel » est donc récente en entreprise. Les actions relatives au management interculturel, sont fondés sur un double postulat : la faillite (réelle ou annoncée) des méthodes d’organisation rationnelles déclarées universelles (le taylorisme, par exemple) ainsi que la lecture des pratiques gestionnaires au miroir des cultures nationales, avec l’idée que certains modes d’organisation sont plus adaptés à des cultures qu’à d’autres.
La préoccupation nouvelle en faveur de la prise en compte des cultures en entreprise revêt, pour C. Camilleri, une dimension « pragmatique » : l’interpénétration croissante au niveau du commerce mondial de différents groupes humains, qui se revendiquent comme différents et dont la confrontation oblige à trouver des terrains communs d’intercompréhension. Et ce parti pris revêt également une dimension idéaliste, revendiquant un « idéal humaniste » censé « favoriser l’avènement d’un état humain jugé préférable ». L’« interculturel » participe d’une option choisie par ceux qui pensent que « tout individu a le droit d’être pris en considération avec ses particularités » L’« interculturel » tente de mettre en garde, par la tolérance de la raison, contre cette tendance spontanée à déclarer barbare ce qui ne nous est pas semblable.
Ce souci nouveau d’un management interculturel doit être relié à l’étude des cultures nationales dans les théories du management. En opposition avec l’inspiration taylorienne qui voulait que les structures et les règles de fonctionnement des entreprises convergent progressivement vers un modèle unique, certains auteurs, dès le début des années soixante-dix, vont mettre en lumière ce qu’ils appellent « les différences de programmation mentale » qui séparent les salariés de chaque pays. Sur l’ensemble des identités d’ordre communautaire qui surplombent l’identité personnelle, l’identité nationale leur apparaît alors comme le niveau principal, mais non exclusif, de différenciation socioculturelle de ces recherches baptisées « interculturelles ». Pour G. Hofstede, en 1987, « c’est de nos jours principalement au niveau national que l’on peut parler de culture, car les sociétés sont, à notre époque, les groupes humains les plus complets de relations internes suffisamment indépendantes par rapport à leurs environnements pour entretenir un taux d’intégration entre leurs membres que l’on ne retrouve pas à d’autres niveaux de structure sociale ».
http://communicationorganisation.revues.org/2712
c) Les obstacles à la communication interculturelle
La communication interculturelle est donc souvent bien perçue, mais il existe tout de même, certains obstacles à cette communication :
- Ethnocentrisme : c’est le fait de privilégier son groupe d’appartenance et de le considérer comme une norme.
- Catégorisation : elle consiste à classer et à regrouper au sein de catégories,
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