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Multinational

Autor:   •  December 10, 2017  •  7,169 Words (29 Pages)  •  512 Views

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- Par définition, ethnocentrique : la culture organisationnelle de la société-mère est supposée meilleure que celle des filiales. En vertu de ce principe, toutes les décisions stratégiques sont prises au niveau du siège, les filiales sont dirigées par des expatriés et la gestion du personnel est centralisée ;

- Corrigé : Au niveau du recrutement, l Au niveau des politiques, les firmes prennent leurs décisions sans considérer les aspirations politiques des autres pays.

Question quatrième : Qu’est-ce que l’orientation «polycentrique» (host country oriented)?

- polycentrique : dans ce cas, chaque filiale estrangère a sa propre stratégie, le nombre d’expatriés est faible et il n’existe pas de politique de personnel unifiée ;

- corrigé : Quant à la prise de décision, elles sont adaptées à toutes les cultures et aussi, à une grande liberté. On doit aussi rajouter que les managers américains disent que la limite à cette approche est au niveau de la synergie puisqu’il y a un dédoublement des postes. Par exemple, au niveau des R&D, elles se font à plusieurs reprises (on double les efforts de recherche). Le partage des connaissances au niveau mondial est donc surpassé.

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Question cinquième : Qu’est-ce que l’orientation «géocentrisme» (attitude globale)?

- Du fait que les concurrents sont globaux, en tant que multinationale, on n’a pas le choix de ne faire autre que d’être global et d’y intégrer une stratégie globale également.

- géocentrique : dans ce cas de figure souvent présenté́ comme un idéaltype à approcher, il y a égalité́ des chances pour toutes les nationalités représentées dans le groupe. Les décisions stratégiques sont prises dans un siège supposé mondial. La politique du personnel se veut globale et ne doit pas exprimer les préférences d’une nationalité́ particulière.

- Corrigé : Nombreux sont les efforts pour recruter les meilleurs cadres. Les décisions se prennent par consensus. Les sièges sociaux sont nombreux. Il en a plus qu’un. Les pays du monde peuvent être alors des sièges sociaux pour les entreprises. On prend part du multiculturalisme

Question sixième : Selon l’approche EPG exprimée au niveau fonctionnel, la R&D est une approche plutôt géocentrique, les finances sont plutôt ethnocentriques et le marketing suit une approche polycentrique, qu’en pensez-vous?

- Une certaine flexibilité est de mise pour s’adapter aux catégories de fonctions, de produits et géographique.

- On a besoin d’une prise de conscience de la part des gestionnaires.

- On doit prendre des décisions d’organisation en terme de structures. Les attitudes entrainnent des décisions.

- Corrigé

Question septième : Selon l’approche EPG qui serait non reliée au degré de globalisation du secteur d’activités, aucune analyse n’est associée aux conditions de l’industrie (secteur d’activité) des entreprises multinationales, selon-vous, est-ce logique ou non?

- explication :

- corrigé

POLYCENTRIQUE

- filiales quasi indépendantes, donc grande autonomie

- les gens local savent ce qui est mieux pour eux

- possibilité de garder le contrôler avec des bons outils

GÉOCENTRISME - ATITIUDE GOLBALE

- BUT : toujours s’épandre et intensifier nos horizons

- on recherche les meilleures compétences quelle que soit la nationalité

- les filiales ne sont ni indépendantes (approche multidomestique) ni des satellites (approche internationale)

- approche mondiale autant au niveau du quartier général que des filiales

- géocentrisme exprimé à travers 3 nivaux (1) fonctionnel (2) produits (si les produits sont globaux, on fait face à une limite) (3) géographie (tout le monde participe)

- exemple : UNILEVER, we want to unileverize our indians and indianize ouir unilerizans.

- Si on a plusieurs centres de recherche et développement, on doit faire attention aux duplicatas pour ne pas faire des efforts inutiles.

- Au niveau de la situation financière, ce sont les critères de l’ethnocentrisme qui s’appliquent.

4 février 2016

Résumé de l’article : The End of Corporate Imperalism

- De manière théorique, la perception IMPÉRALISTE et la performance dans les pays émergents se fait par (A) Centralisation des décisions au niveau de la MNC (B) Modèle d’affaires occidental qui est appliqué mondialement (C) Performance réduite au niveau des pays émergents.

- Les modifications des MNC indispensables. Premièrement, les pays émergents regroupent plus de 55 % de la population. Deuxièmement, les marchés émergents se différencient et sont distincts entre l’Union européenne et les États-Unis. Ces deux modifications font en sorte qu’il y ait une nécessité de perception et d’approche des MNC.

- Auparavant, les FMN, pour conquérir de nouveaux marchés émergents, elles étaient dirigées par une ligne directrice étroite et une perspective arrogante. Les FMN voyaient la Chine et l’Inde comme des cibles pour une vaste agglomération de prétendus consommateurs avides de B&S modernes soit l’IMPÉRALISME d’entreprise.

- L’impérialisme d’entreprise a bafoué la prise de décision des FMN au niveau de l’exploitation, de la commercialisation et de la distribution. Par exemple, les FMN adoptaient leurs produits à des segments d’acheteurs plus aisés (plus petits segments), soit par définition, le consommateur prototype occidental. Du coup, les FMN ont passé à côté de nombreuses occasions d’affaires alors qu’elles auraient pu miser sur de grands marchés en aval.

- À retenir : avec des marchés élargis, les FMN doivent miser sur une compréhension approfondie et impartiale des caractéristiques et des besoins des pays en développement et de leurs populations uniques.

- Les FMN doivent innover et concurrencer

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